Pasteur a la noix

Putin de merde... OU EST T'IL PASSER SE PUTIN DE PASTEUR A LA NOIX.
La jeune femme ne semblait pas de bonne humeure, je la commprend cela fait deux heures et demis qu'elle cherche le pasteur Remington en vain.

Pour sa part, le pasteur Remington avait d'autres projets en tête que de passer du temps avec Phalis. Les récents troubles observés au niveau de la ligne astrale l'avaient préoccupé au plus haut point. Il se trouvait avec une équipe au sommet d'une des tours du couvent. Ils étaient occupés à faire toute une série de mesures à l'aide d'instruments divers.

"La pression est beaucoup trop forte... ça ne présage rien de bon."

On lui tendit une première fiche remplie de symboles et de notations étranges. Un premier résultat qu'il envoya directement au laboratoire pour analyse. Une soeur arriva peu après. Elle avait le visage blème.

-Euh... mon Père, Phalis vous réclame. Il semble que ça soit urgent.

L'homme sourit à ces paroles. La pensée de la jeune femme l'amusait au plus haut point, lui permettant de décompresser.

-Dites-lui où je suis. J'avais justement besoin de connaitre la météo.

Quand ellle arrivat, elle était esouflée. Elle regardait Ewan, contente de l'avoir enfin trouver. Quand elle reprit un soufle normal elle lui dit:
Je t ai chercher partout pendent deux heures et demi. Je me suis fait du souci. En plus je veux te demander en...en...
Trop tard la jeune femme avait deja commencé sa declaration.

Le sourire du pasteur s'élargit. Son expression était bienveillante. Profitant que la jeune femme hésitait à finir sa place, il l'interrompit, faisant semblant de ne pas l'avoir comprise.

-ça te reviendra en temps voulu. En attendant, tu pourrais me donner ton avis sur le temps qu'il fera, s'il te plait? Je dois le comparer avec mes mesures.

Il avait bien comprit où voulait en venir Phalis, mais le moment n'était pas idéal. Il voulait attendre la fin de toute cette agitation avant d'avoir quoi que ce soit à perdre. Le moment venu, il formulerait lui-même sa demande, comme tout homme qui se respecte.

Phalis laisat tomber quelleques larme. Pour pas qu'Ewan ne la vit elle se retournat, essuyat ses yeux et dit d'une voix faible:
Pluie... Demain il y aura de la pluie.
Elle se tournat vers lui puis elle lui demandat gentillement s'il avait besoin d'aide.

-Merci bien, Phalis.

Il fallait qu'elle se calme et se ressaisisse, le temps que tout s'arrange. Il décida de lui trouver une occupation pour patienter.

-Tu pourrais t'occuper de prévenir les enfants du couvent et les entrainer à se servir d'armes à feu, qu'en dis-tu?

La jeune fille rougit et repliquat:
Je veux t'aider en restant pres de toi, moi. En plus ils ont dejas tirer ce matin et a midi ca sufit non?

Tout compte fait, ce que proposait la jeune femme serait encore la meilleure méthode pour patienter. Lui aussi avait très envie de rester près d'elle. Il la regarda tendrement puis autour de lui pour voir ce qu'il y avait à faire.

-Très bien, alors voudrais-tu m'aider à régler cet engin, là? J'ai beaucoup de peine à le faire fonctionner. Le manque d'habitude, sans doute.

Ouiii
Phalis s'approcha de l'engin et, en deux trois mouvement, elle le fit fonctioner.
Voila, c'est fait.
Elle allat vers Ewan , se mit deriere lui et commencat à le masser.
Tu devrais te detendr un peu, mon amour, tu es tout crisper.

Instantanément, le pasteur se détendit. Cela lui faisait cet effet chaque fois que Pharis était près de lui. Elle massait drôlement bien, en plus. Et l'entendre lui dire qu'il était son amour lui réchauffait le coeur.

-Phalis, je me demande ce que je deviendrais sans toi.

Il aurait adoré prendre du repos, se lâcher un peu, mais il savait que cela était impossible. Il y avait beaucoup trop à faire. Et après tout, pourquoi pas? Il verrait bien si il avait du temps libre pour se calmer.

La jeune fille sourit, mais bien sur, vu qu'elle etait dans le dos d'Ewan il ne la vit pas. Alors elle le contournat, se mit devant lui, fermit les yeux puis l'embrassat tendrement sur les levres. Quand elle eut finit se chaleureu baisé elle le regardit avec un air tendre et lui dit:
Et moi donc?

Ewan lui rendit son baiser avec affection. Il se sentait étroitement lié avec la jeune femme. Il se rendit alors compte d'une chose: Il ne pouvait pas laisser passer la moindre seconde durant laquelle ils étaient ensemble. Tant pis pour le devoir et l'attente. Il l'aimait, c'était tout ce qui comptait.

-Que voulais-tu me dire tout à l'heure?

Phalis devint de suite rouge comme une pivoine.
Ha... ha ... je... je...
Elle n'arrivait rien a faire sortire de sa bouche pourtant elle voulait lui dire, mais sa timidité lui rejouait des siennes.

La jeune femme avait de la peine à formuler. Le pasteur décida de l'aider. Il lui prit la main entre les siennes et la regarda amoureusement.

-Je sais où tu veux en venir. Lui chuchota-t-il.

Après tout, était-ce réellement ce dont il avait envie? Une vie bien rangée et normale, comme le simple curé du village?

"Avec Phalis je ne pense pas que ce sera le cas. Plus besoin d'hésiter!"

-Veux-tu m'...

A ce moment-là, une grande bourrasque de vent les renversa l'un sur l'autre. L'atmosphère était surchargée en énergie qui se dégageait par tous les moyens. Cela cassa toute l'ambiance et Ewan était déçu que cet instant magique soit déjà terminé.

"Eh merde!"

Le vent souflait doucement. A cause de la rafale Ewan était tombé sur Phalis Les cheveux blond du pasteur caressaient le visage de la jeune fille... Elle le regardait en attendant une seule et unique chose, qu'il finnisse sa phrase.

Ewan vit le regard de la jeune femme. Il pouvait lire ce qu'il signifiait, et tout ce que cela impliquait. La vie d'un homme, celle d'une femme. ça n'était pas difficile. Il n'y avait qu'à penser à toutes les choses qu'ils pourraient accomplir ensemble. Tout ce qu'il y avait à dire était trois petits mots. Tout compte fait cet instant n'avait rien perdu de sa magie, elle avait juste changé d'orientation. Pourquoi hésiter encore? La demande pouvait être faite ce jour-là et le reste pouvait être remit à plus tard en attendant des temps plus calmes.

"Est-ce vraiment ce que je veux?"

Mais la question avait depuis longtemps été réglée. Oui, il n'aurait rien souhaité d'autre. Ces dernières anbnées, il avait changé d'opinions, de projets, de moeurs. Il n'y avait plus aucune excuse.

-Veux-tu devenir ma femme?

Les yeux de Phalis soudin furent sintillant. Elle s'agripat au cou d'Ewan et l'embrasat en laissant couler quelleques larmes de joie. Elle était heureuse et, sens esiter elle lui dit:
Plus que tout au monde.

Une vague de bien être parcourut le corps du pasteur. Il allait enfin faire ce que la mère supérieur lui avait toujours suggéré de faire et qu'il s'était juré qu'il ne ferait jamais: Se ranger. Il se releva et aida celle qui était désormais sa fiancée à se relever. Dès le soir venu, il en parlerait avec le mère supérieur pour pouvoir arranger une date. Toutes les soeurs du couvent allaient râler, mais il s'arrangerait bien pour transmettre ses connaissances à un petit nouveau pour que celui-ci le succède auprès de ces demoiselles.

-J'en suis certain... Je t'aime.

La jeune fiancée qui pleurait de joie essayat de regarder l'homme mais elle se mit a rire. Elle le voyait flou. Elle voulait allez anoncer la nouvelle à Azu qui serait surement tres heureuse de l'apprendre, alors elle pris la main de l'etre auquel elle tenait le plus et dit:

-Je suis si heureuse, il faut aller dire tout cela à soeur Kate et à Azu. Je m'en occupe.

Elle se mit sur la pointe des pied et embrassat tendrement le pasteur. Elle se retournat et reprit:

- A demain il se fait tard je te laisse a tes occupations. Je vais aller prevenir soeur Kate.

Elle se mit a courir vers le monaster.Elle etait si heureus qu'elle ne s'etait pas rendu comte qu'elle tenait son revolever et elle triat un coup qui la fit redescendre de son nuage, mais pas pour longtemp. Puis ce fut le tour d'un lampadere qui la fit se retrouver les quatres fer en l'air."Il faut que je retienne mes emotions car dans ses moments la je suis vraiement mal adroite"Elle se redressat génée car elle etait encor dans l'angle de vue de son aimé. Rouge comme une pivoine, elle regardat devant elle pour ne pas se prendre un obstacle imprevu. Quand elle ne fut plus dans l'angle, elle s'adossat contre en pilier et repris sa respiration. Puis se dirigeat vers les bureaux.