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 Bleach fanfiction (+18 ans)

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Lyra Delauro
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MessageSujet: Bleach fanfiction (+18 ans)   Bleach fanfiction (+18 ans) EmptyDim 15 Juin - 23:21

Hum hum...je vais être claire, c'est une fiction violente et détaillée. Alors si vous n'aimez pas ce genre ne lisez pas car c'est vraiment torture et cruauté pure alors vraiment je vous prévient parce que j'ai pas envie qu'on m'accuse de traumatiser des jeunes volontairement.

Pour ceux qui aime ce genre d'histoire alors j'espère que celle-ci va vous plaire Twisted Evil

Pas encore de titre:

Chapitre 1:

On dit que certains jours sont meilleurs que d’autres. C’est vrai et celui-ci était, à tout point de vue, un de ces jours qui dans le hit parade de tous les jours de sa vie classé dans l’ordre du meilleur au pire, avait une place allant carrément dans les numéros négatifs. En même temps, Hitsugaya Toshiro ne pouvait pas dire que beaucoup de mauvaises choses lui étaient arrivées aujourd’hui, mais seulement une suffisait à placer ce jour dans la liste noir de son existence. Existence qui d’ailleurs n’était plus que temporaire vu la situation.

Pour résumer les choses. Le capitaine de la 10ème division était face à Aizen, son bankai réduit en poussière froide et, accompagnant ses autres blessures moins graves, une large balafre dans son dos qui l’avait forcé à finir face contre terre pouvant à peine bouger. Qui aurait put prévoir qu’Aizen en personne débarquerait dans le monde réel en compagnie d’Ichimaru, tout cela uniquement pour s’en prendre à lui et à lui seul. Toshiro ne savait pas trop s’il devait mettre ça sur le compte d’une malchance absolument hors du commun ou sur un plan tordu d’Aizen qui impliquerait cette attaque. En fait, même dans le second cas, il s’agissait de malchance.

« Déjà fatigué gamin ? »

Gamin, voilà une nouvelle petite manie qu’avait prit le traître. Il l’appelait gamin uniquement pour le provoquer et lui lancer des pics réguliers. Soudain, l’ex-capitaine disparut de sa vue et il sentit quelque chose frapper violemment sa blessure au dos. Le capitaine de la 10ème serra les dents dans un sifflement de douleur alors qu’Aizen, appuya un peu plus fort son pied sur la blessure de son adversaire. Toshiro ne tenta même pas de se ridiculiser à tourner la tête pour lui lancer un regard noir.

« Espèce de connard. »

Sifflât-il d’un air venimeux. Le jeune capitaine le regretta aussitôt qu’Aizen appuya un peu plus son sabre sur sa blessure avant de doucement glisser la lame de son sabre juste sur le cou du jeune garçon qui dut serrer les dents pour ne pas montrer les émotions qui se partageaient en lui. Soudain, le traître se baissa vers lui et attrapa l’enfant par les cheveux en lui tirant la tête en arrière. Toshiro laissa échapper une exclamation quand il vit ce qui l’entourait. La négation était autour de lui et Aizen, Ichimaru, silencieux comme une ombre était lui aussi entouré par sa propre lumière. Il n’avait pas bougé depuis qu’il avait débarqué dans le monde humain c’était à ce demander pourquoi il était venu.

« Allons, allons, un tel langage pour une personne si jeune, c’est navrant. Ne t’inquiète pas, je saurais bien corriger ces petits défauts une fois que nous serons arrivés à destination. »

Hitsugaya déglutit bruyamment en envisageant sa situation. Non vraiment, ce n’était pas son jour du tout.

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Premier chapitre tranquille ma foi mais bon faut bien mettre l'histoire en place ^^. Il est aussi pas mal court mais disons qu'à la base je pensait même pas publier cette fic^^.


Dernière édition par Lyra Delauro le Mar 17 Juin - 22:13, édité 1 fois
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Lyra Delauro
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MessageSujet: Re: Bleach fanfiction (+18 ans)   Bleach fanfiction (+18 ans) EmptyDim 15 Juin - 23:24

Chapitre 2:

Quand il se réveilla, le jeune capitaine était dans une salle totalement noire. La première chose qu’il sentit ce fut la douleur, son dos lui faisait mal, extrêmement mal ainsi que ses bras et ses poignets. Ses pieds ne touchaient pas le sol mais quelque chose retenait ses deux poignets au dessus de lui faisant en sort qu’il soit suspendu en l’air sans aucun point d’appuis pour soulager son corps tendu et douloureux. Il tenta de bouger un peu mais gémit sous l’effet de ses blessures se réveillant. Il portait toujours son uniforme de capitaine, sans son zanpakto bien évidemment. Respirant assez rapidement tout en essayant d’analyser la situation, Toshiro prit un peu le temps de se calmer pour ordonner ses pensées. Ce qu’il savait c’était qu’il était sans défense, entre les mains d’Aizen quelque part où personne de la soul société ne viendrais l’aider. Finalement, rassembler ce qu’il savait n’était pas la meilleur idée qu’il ait eut. Ce qu’il voulait savoir : Où il était, quand il était, pourquoi il avait été enlevé et ce qu’ils allaient faire de lui…Bon l’idée de rassembler ce qu’il savait n’était pas si mal en fin de compte.

« Heureux de voir que tu as reprit conscience. »

Hitsugaya sursauta quand la personne présente s’adressa à lui, à voix-basse son souffle caressant sa nuque. Le plus jeune des capitaines ravala sa salive pour se redonner une contenance avant de tenter de répondre de l’air le plus détendu possible.

« Ichimaru, qu’es ce que c’est que toute cette histoire ? »

« Mmmmh…dis-moi, si je te demandais d’aller t’agenouiller devant Aizen et d’obéir à ses moindres désires, est ce que tu le ferais ? »

La voix était amusée comme s’il racontait une blague particulièrement drôle. Le captif, trouvant cela nettement moins drôle, voulut se retourner vers lui mais n’arriva à rien d’autre que de tirer un peu plus sur ses chaines le faisant souffrir atrocement. Il remarqua une chose qu’il n’avait pas remarquée juste avant. L’endroit puait horriblement. C’était quelque chose de violent, acre, humide et gluant qui donnait envie de vomir. Comment avait-il fait pour ne pas le remarquer plus tôt ? Le jeune garçon, eut une soudain envie de vomir mais ça ne l’empêcha pas de répondre d’un air furieux à Ichimaru.

« Ne soit pas stupide ! Qu’es ce que tu me veux ?! »

« Toshiro-chan…Toshiro-chan, je croix qu’il vaut mieux que je te montre plutôt que je ne t’explique. »

Hitsugaya sentit le souffle d’Ichimaru s’éloigner de son cou et l’entendit faire quelque pas en arrière. Soudain, il y eut un éclair et la lumière s’alluma. Dans un premier temps, le capitaine ferma les yeux pour ne pas se faire aveugler, puis, il se risqua à observer l’endroit dans lequel il se trouvait. Dès qu’il aperçut l’endroit, ses yeux s’écarquillèrent et une peur soudaine l’envahit. Il se sentait même trembler devant le spectacle qu’offrait la pièce.

Elle était rectangulaire, assez grande. A un peu près un tiers de sa longueur, se trouvait une table en fer pourvut de sangles pour les poignets, les chevilles et le cou d’un personne qu’on y attacherait. Lui-même était à l’autre tiers libre de la salle, ses poignets retenu par des chaines à environs trente centimètres du sol. Mais ce qui était vraiment frappant étaient les objets qui ornaient les murs ou s’entassaient sur le sol. Des fouets, des masses, des lames, des pics un peu partout. Une vraie foule d’objets de torture jetés dans tous les coins. Et tous, sans exception, étaient couverts de sang et d’autres résidus organiques. Même les chaines qui retenaient Toshiro étaient rougeâtres dans une couleur mélangeant la rouille et le sang à demi-pourri.

Le capitaine crût en premier à une illusion, il espéra une illusion mais non. C’était bel et bien une salle de torture et qui semblaient avoir été souvent utilisée. Ichimaru se plaça devant Hitsugaya pour lui jeter son habituel air calme et moquer à la figure.

« Si tu savais le nombre de Shinigamis qui sont passés ici. Tu es le premier capitaine, je te l’accorde. Mais n’ait pas trop d’inquiétude, je trouverais bien moyen de me mettre à ton niveau. »

« …C’est une blague… »

Il avait parlé presque sans s’en rendre compte, plus pour lui-même que pour s’adresser à ichimaru. En fait, il espérait vraiment que se soit une blague. Mais à voir le visage d’enfant heureux peint sur l’ex-capitaine devant lui, il ne s’agissait en rien d’une plaisanterie. Celui-ci s’approcha alors du jeune garçon qui commençait à sérieusement paniquer. Ichimaru posa une main sur son torse avant de se pencher vers lui pour lui mordiller l’oreille doucement avant de lui chuchoter quelques mots.

« Non, pas vraiment hélas pour toi. »

Soudain, Ichimaru disparut tout simplement disparaissant de la vue du garçon. Celui-ci sentit sa respiration accélérer sentant que bien qu’hors de sa vue, son tortionnaire n’était certainement pas loin. Soudain, le jeune capitaine poussa un hurlement de douleur quand il sentit quelque chose lui bruler le dos. Il se tordit en tirant sur ses chaines jusqu’à s’écorcher les poignets pour tenter de s’éloigner de ce qui était fermement appuyé sur son dos brulant de plus en plus de peau. Le contact sembla durer un moment infiniment long jusqu’à ce qu’Ichimaru retire l’objet pour de nouveau passer devant le capitaine exposant à sa vue une barre de fer dont le bout était presque blanc à force d’avoir été chauffé et qui avait des traces de quelques chose de noir dessus. Toshiro comprit qu’il s’agissait de peau brûlée et il eut vraiment du mal à réprimer le haut le cœur qui venait de le prendre.

Il voulut reprendre son souffle mais sa gorge était serrée et douloureuse à cause du hurlement qu’il avait poussé et la brûlure dans son dos accompagné de l’ancienne fait par le sabre d’Aizen, ne l’aidaient pas vraiment à aller mieux.

Ichimaru s’approcha à nouveau du garçon restant dans son champ de vision cette fois. Il approcha le morceau de fer incandescent de son torse faisant des mouvements très lents histoire de savourer l’expression de peur qui avait envahit le visage du capitaine.

« Alors, tu ne me demande pas d’arrêter ? »

Le jeune garçon serra les poings avant de répondre se rendant compte avec dépit que sa voix tremblait de crainte elle aussi.

« Va te faire voir ! »

La barre frappa l’enfant en plein torse comme un coup de sabre sauf qu’Ichimaru prit bien soin de laisser l’objet en contact avec le plus de peau possible. Le costume de capitaine que portait Hitsugaya ne ressemblait plus vraiment à ce qu’il avait été. Brulé, salis et tranché, il était dans le même état que Toshiro. Le capitaine tenta de nouveau vainement de se dérober à ce contacte en poussant un autre cri de douleur. Mais cette fois, ichimaru resta en place attendant sans bouger que Hitsugaya l’implore d’arrêter. L’enfant tint bon une minute entière avant de finalement craquer au moment où les larmes commençaient à couler le long de ses joues.

« ARRÊTE !!!! ARRÊTE !!! JE T’EN SUPPLIE ICHIMARU !!! ARRÊTE !!!! »

L’ex-capitaine retira l’objet des chaires brulées de Toshiro en souriant. Le jeune garçon avait fermé les yeux et serrait les dents maintenant pour tenter peut être de repousser la douleur. Ichimaru s’approcha de lui et doucement essuya une des larmes qui coulaient sur sa joue. Hitsugaya recula son visage à ce contact en ré-ouvrant les yeux craignant une nouvelle souffrance. Le tortionnaire porta la larme à sa bouche avant de la lécher doucement tout en fixant l’enfant d’un air à la fois tendre et glacial.

« C’est incroyable comme tu est beau quand tu souffre. »

« …Ichimaru…je t’en supplie…laisse moi partir. Je t’en supplie. »

La voix du capitaine était brisée maintenant. Tout son corps lui faisait mal, les crampes qu’il ressentait dans tout le corps, pour être suspendu par les bras, étaient si fortes qu’elles lui coupaient le souffle dès qu’une apparaissait pour ne pas s’arranger ensuite. Ses blessures au dos et celle à sa poitrine lançaient des appels sourd dans tout son corps au rythme de son cœur. Ichimaru lui sourit soudain en posant une main sur sa joue la caressant du pouce avec une sorte de tendresse dénudée de toute gentillesse.

« Mais non, Toshiro-chan, on vient juste de commencer. »

« Pitié…je ferais ce que tu veux…ne continue pas…par pitié… »

« Non,non,non,non,non, mon cher Toshiro-chan nous n’allons pas nous arrêter en si bon chemin. C’est bien trop amusant. »

« MAIS QU’EST-CE QUE TU VEUX DE MOI !? »

Il avait hurlé, un cri de désespoir comme cherchant une dernière porte de sortie. Ichimaru sourit et sortit un petit poignard avant de se pencher vers la jambe de Toshiro. Il sourit et soudain, l’enfonça dans la cuisse de l’enfant qui poussa un autre cri de douleur. L’ex-capitaine sourit en retirant soudain la dague pour la rengainer. Il prit ensuite un petit flacon remplit d’un liquide un peu rouge. Il l’ouvrit et le déversa sur la blessure. Cette foi, le capitaine de la 10ème division faillit en tomber dans les pommes. Le liquide rentra dans sa blessure comme une éponge et commença à se répartir dans toute sa jambe. S’était comme si sa jambe était en train de se liquéfier sous de l’acide. Sa voix s’étrangla à moitié quand il voulut crier. Cela était en fait du au coup de poing qu’Ichimaru venait de lui envoyer dans l’estomac lui vidant les poumons. Implacable, le bourreau plaça alors sa main sur la bouche du garçon prenant soin de recouvrir son nez et lui couper tout apport d’oxygène.

Le jeune capitaine se cabra du mieux qu’il put, totalement paniqué par la douleur et le manque d’oxygène arrivant brusquement les deux en même temps.

*Bon dieu, il va me tuer. Je…je vais y rester ! Pitié, quelqu’un vienne n’importe qui !*

Il bougea pour tenter de se libérer de la main d’Ichimaru mais ses mouvements vains ne firent qu’amplifier la douleur et augmenter le manque d’air. Des papillons noirs passaient devant ses yeux alors que sur ses joues coulaient toutes les larmes qu’il avait à donner. Juste avant qu’il ne perde connaissance, Ichimaru retira sa main laissant le capitaine reprendre de l’air brusquement. Ce dernier toussa violemment tout en hoquetant de douleur même si la plus grande douleur dans sa jambe s’était apaisée. Il n’en pouvait plus, il était totalement à bout.

Hitsugaya sentit son bourreau effleurer sa joue de la main et gémit en essayant de reculer son visage. La main se posa de nouveau sur sa joue caressant doucement son visage et essuyant même les larmes qui s’y trouvaient et qui pourtant ne cessaient de couler. D’un air tendre mais ferme, Ichimaru le força à relever la tête pour le regarder dans les yeux alors qu’à l’aide d’une de ses manches il entreprenait de nettoyer les larmes et le sang qui se trouvaient sur ses joues.

« Allons, il ne faut pas se mettre dans un état pareil pour si peu. »

Toshiro gémit en guise de réponse incapable de bouger ou de tenter de se dérober au regard moqueur de son tortionnaire. Il n’avait plus de fierté en ce moment, il n’était plus un capitaine mais juste un gamin qu’on venait de torturer et qui était totalement perdu dans sa douleur et dans sa peur.

« Bon, aller, respire un bon coup et on continue. »

La manière presque maternelle qu’avait Ichimaru de s’adresser à lui était vraiment affreuse. Sa voix rendue mielleuse par ses simagrées et son ton de compassion collaient tellement mal avec ce qu’il disait qu’en soit ces simples mots donnaient envie de fuir. Ichimaru s’éloigna un peu pour attraper une sorte de longue pince à l’utilisation obscure. Le voyant faire, Hitsugaya sentit la panique revenir et tira de nouveau sur ses liens en gémissant de douleur. La peau de ses poignets étaient tellement écorchée qu’il ne sentait plus ses mains que de manière un peu brumeuse pourtant, il aurait juré avoir sentit la peau de celles-ci bouger comme un gant mal mit quand il avait bougé. Cette pensée était en elle-même une des pires qu’il n’ait jamais eut de sa vie. Son esprit en oublia un moment Ichimaru pour se souvenir de la sensation étrange d’avoir la peau s’enlevant de sa main comme un gant, un peu comme si elle était pelée comme une orange.

« Tue-moi. Ichimaru tue-moi je t’en supplie. Je t’en… supplie vraiment. »

Ichimaru sembla un peu surprit mais il avança un peu vers lui en laissant tomber la pince sur le sol. Il regarda le jeune capitaine en penchant la tête sur le côté.

« Si je te laisse tranquille pour cette fois, tu promets de devenir un gentil petit garçon au service d’Aizen ? De lui obéir ? »

Toshiro hocha la tête totalement perdu et incapable même de penser à donner la réponse contraire. Ichimaru l’attrapa par les cheveux le forçant à le regarder de nouveau.

« Dis-le. »

« Je te le jure. »

Soupirant de déception, Ichimaru tendit la main vers les chaines du capitaine qui se détachèrent immédiatement laissant tomber le garçon sur le sol alors qu’il s’effondrait comme une masse incapable de faire quoi que se soit. Hitsugaya serra les dents du mieux qu’il put en se risquant à regarder ses mains. Malgré le flot de sang qui en coulait, il n’eut aucun mal à voir que ce qu’il avait ressentit n’était pas loin de la réalité. Il pouvait voir, sous un morceau de peau relevé, le muscle à vif. Incapable d’en supporter plus, le capitaine se pencha brusquement vers le sol et vomit de dégout. Ichimaru jeta un regard intéressé à ses mains avant de sourire soudainement en passant un doigt sur la peau flasque la faisant bouger sur les muscles comme un morceau de tissu.

« Tiens donc, il va falloir quand même s’occuper de ça. On ne peut pas t’offrir à Aizen dressé mais en plusieurs morceaux. »

L’ex-capitaine sourit et sortit de la pièce laissant le garçon totalement seul baignant dans son propre sang et absolument incapable de faire autre chose que repenser à ce qui venait de se passer.

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J'ai eu pas mal de peine à commencer celui-là à dire vrai. Je ne sais pas si quand on se tranche tout le poignet on peut réelement perdre sa peau comme un gant mais je pense que oui vu que j'ai déjà lu ça dans stephen king et qu'habituellement c'est un auteur qui décrit les blessures et ce genre de chose avec un réalisme assez grand et je croix bien qu'il se renseigne. Mais bon, si ce n'est pas le cas on a qu'a dire qu'il s'agit d'une fiction.
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Lyra Delauro
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MessageSujet: Re: Bleach fanfiction (+18 ans)   Bleach fanfiction (+18 ans) EmptyDim 15 Juin - 23:27

Chapitre 3:

Il y avait une chanson très douce, quelque chose de calme et plein d’espoir. Les paroles étaient dans une langue douce et assez puissante appuyé sur des sonorités comme le t ou le s. Les mots semblaient païens mais en même temps raconté comme une histoire triste. Il avait mal au dos et au torse mais ne sentait pas ses mains. Quand il ouvrit les yeux, il fut presque aveuglé par la lumière qui l’entourait. Il sentait une main passer dans ses cheveux, une main douce et pleine de tendresse qui semblait chercher à le réconforter. Quand il se fut assez accommodé de la lumière, il vit qu’il était couché sur le dos dans ce qui semblait être un parterre de fleure. Sauf que dans son dos, il ne sentait pas le sol mais uniquement les pétales des fleures blanches et brillantes qui l’entouraient. Pourtant, il était dans une sorte de petite chambre avec juste une paillasse et une table basse. Le sol était un parquet de bois sauf à l’endroit où il était couché.

La personne qui chantait était la même qui avait une main dans ses cheveux. Une jeune fille qui semblait avoir à peine 18 ans et qui portait un uniforme de Shinigami mais elle aussi sans sabre. Elle avait des cheveux bruns attaché en queue dans son dos et ses yeux étaient un mélange de brun-vert. Elle semblait très inquiète et ramena sa main sur son front comme pour sentir sa température. Hitsugaya la regarda et quand il capta son regard, elle sursauta. Apparemment, elle ne s’attendait pas à ce qu’il soit réveillé.

« Tu es qui toi ? »

Demanda le garçon d’un air assez acide. Il sentait encore les blessures qu’il avait subie d’Ichimaru mais elles s’étaient un peu estompées ce qui ne l’empêchait pas de rester assez inquiet sur ce qui allait lui arriver. Pour le moment, la fille ne semblait pas hostile mais il n’était sur de rien. Surtout qu’il semblait qu’il l’avait déjà vue. La concernée enleva sa main en cessant son chant rougissant un peu comme gênée.

« Ca…capitaine. Je…Amara Geïka, membre de la dixième division. »
Hitsugaya la regarda sans rien dire. Son visage lui disait effectivement quelque chose mais il n’avait pas le souvenir d’avoir eut cette fille comptant parmi ses hommes. Maintenant qu’il y pensait, en fait une dizaine de nouveaux membres ayant tout juste obtenus leurs diplômes était arrivé le matin même il était donc possible qu’elle ne soit pas encore gravé dans sa mémoire. La fille semblait encore plus mal à l’aise.

« Vous ne vous souvenez sans doute pas de moi. Je…je suis nouvelle. »

Toshiro ferma les yeux un instant. Au fur et à mesure que le temps passait, la douleur était moins forte. Il commençait à se remémorer ce qui lui était arrivé. Il avait totalement perdu tous ses moyens face à Ichimaru et s’était plié à sa volonté sans plus chercher à se défendre mettant à bas son honneur et se laissant humilier pour faire cesser la souffrance qu’il ressentait à ce moment. Quand il avait été détaché, il n’avait pas tardé à tomber dans l’inconscience. Un doute surgit en lui, il était étrange qu’Aizen permette à quelqu’un de le soigner mais en même temps, s’il avait été à la soul société, ce serait un membre de la section 4 qui serait venu le soigner.

« Où somme-nous ? »

« Entre les mains de l’ex-capitaine Aizen. »

Le garçon déglutit se crispant immédiatement. Il aurait vraiment aimé que la fille lui dise qu’ils étaient de retour chez eux. Il se leva soudainement et Amara ouvrit la bouche comme pour le retenir.

« Non, capitaine vous ne devez pas… »

Elle n’eut pas le temps de finir sa phrase que le capitaine en question sentit son dos se tordre de douleur et sa vision se troubler en même temps qu’il s’écroulait incapable de tenir sur ses jambes. La soigneuse le rattrapa avant qu’il ne tombe au sol, le prenant dans ses bras dans un réflexe pour adoucir au maximum le choc. Elle referma ses bras autour de lui et il put sentir qu’elle tremblait un peu. Sa voix était inquiète quand elle tenta de continuer à parler.

« Vous ne devez pas quitter les fleures avant que le processus ne soit finit. »

Elle l’aida à s’allonger de nouveau sur le dos et sembla hésiter à poser de nouveau sa main sur son front.

« Euh…je dois être en contacte physique directe avec vous pour continuer à vous soigner. Est-ce que …je peux ? »

Histugaya hocha la tête doucement laissant la recrue poser sa main. Il sentit son énergie spirituelle passer dans son corps et aller en même temps se glisser dans les fleures. Il n’avait jamais connu ce genre de technique auparavant mais pour le moment peu lui importait, du moment que la douleur s’éloignait un peu de lui. Le jeune capitaine regarda la fille qui avait recommencé à chanter doucement dans sa langue. Elle semblait concentré et la faible lumière que diffusaient les fleures était reflété par ses traits tendus. Pourquoi Aizen ferait-il ça ? Prendre le soin de le briser jusqu’à le pousser à implorer pour ensuite le guérir. Ca n’avait aucun sens, pourtant, c’était ce qui se passait.

« Pourquoi es tu ici ? On t’a aussi enlevé ? »

La fille se mordit la lèvre avant de répondre en baissant la tête ses yeux cachés par ses cheveux qui lui tombaient sur le visage.

« Le capitaine Ichimaru et venu me chercher. Je l’ai vu partir avec vous et moins d’une minute après il est revenu. J’étais…j’étais venus à cause de son aura. Quand il est revenu, il m’a dit que vous aviez été enlevé et que ce qui vous attendait était…n’était pas… »

Il y eu un moment de silence.

« Il connaissait ma technique. On se connaissait alors que je n’étais qu’étudiante. Il avait toujours été gentil avec moi. En fait…il m’a dit que si je ne venais pas vous seriez abandonné à votre douleur. Je…je suis désolée. »

Elle retira sa main des larmes coulant sur ses joues. Elle s’inclina devant lui comme en plein repentir.

« Ma technique permet de faire renaître les cellules et non pas accélérer leur régénération. C’est une technique utile à long terme. Ca veux dire que la seule raison pour laquelle je suis ici c’est qu’ils puissent recommencer chaque jour. Je…je suis vraiment désolé, je le savais mais je n’ai pas réussit à dire non quand il m’a demandé de venir. Je ne pouvais pas vous laisser seul. »

Hitsugaya ne répondit pas tout de suite. En fait, il ne tenait pas à répondre. Il voyait bien que sa subordonnée était accablée de remord mais actuellement, il était plus concentré sur ce qui allait lui arriver. Il connaissait la différence entre faire renaître une cellule ou la régénérer. Les cellules du corps humains pouvaient se refaire un nombre de foi limité, ainsi, après de nombreuses régénérations, elles ne peuvent plus rien faire et meurent. Les faire renaître implique que le corps ne se fatigue pas de guérison répétées. Ainsi, Aizen voulait le faire souffrir un si grand nombre de fois. Et à cause de cette fille, il pouvait lui faire subir les pires sévices autant de fois qu’il le désirait sans risquer d’abimer son jouet.

Soudain, la porte s’ouvrit en fracas. Ichimaru se tenait sur le seuil en souriant de son air habituel de serpent. Il était flanqué de deux Arrancars qui semblaient battit comme des montagnes mais sans le moindre gramme d’intelligence. La fille le regarda sans rien dire. Toshiro lui, se redressa sans attendre et remarqua que ses blessures étaient entièrement guéries.

« Fin de la journée. »

Dit-il simplement. Un des colosses attrapa la fille au bras la soulevant sans difficulté alors qu’elle n’essaya rien de faire. L’autre entra et fit un signe compliqué en l’air et sur un des murs de la petite pièce apparut une porte en bois. Le premier colosse l’ouvrit et la fille ne dit rien comprenant qu’on attendait d’elle qu’elle rentre sans faire d’histoire. Le capitaine se leva sans attendre pour tenter de faire quelque chose mais le regard aigu que lui lança Ichimaru le dissuada d’agir. La fille lui adressa un mince sourire avant d’entrer. Un des arrancars ferma la porte et rejoignit son patron qui n’avait pas bougé.

« Dors, c’est tout pour aujourd’hui. Demain sera une journée bien plus rude Toshiro-chan. »

Siffla l’ex-capitaine en glissant sur lui un regard remplis d’une étincelle qui ne plut vraiment pas au garçon. Il repartit en scellant la porte d’un sort rapide. Histuagaya resta simplement seul. La porte qui était apparue par magie était encore là mais scellée elle aussi. Il entendit un bruit venant de l’autre côté. Il hésita et finalement colla son oreille à la porte pour entendre ce dont il s’agissait.

Des sanglots, elle pleurait. Mais au milieu d’eux, un nom ressortait sans cesse comme on appelle un sauveur. Une litanie qui implore l’aide d’une personne ou qui cherche juste à retrouver ce qui a été perdu. Juste un nom : Devon.

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Je doix quand même avouer que je déteste les perso originales dans les fanfiction d'habitude à moins que se soit des méchants absolument sadique. Pourtant, à chaque foi j'en fais moi même. Je n'aime que les miens en fait XD.En fait, vous vous rendrez compte, si je vais assez loin dans cette fic, d'un cross over avec un autre manga mais pour le moment c'est secret.^^
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MessageSujet: Re: Bleach fanfiction (+18 ans)   Bleach fanfiction (+18 ans) EmptyDim 15 Juin - 23:32

Chapitre 4:

Les deux colosses étaient revenus à l’aube mais sans Ichimaru. Ils l’avaient attrapé et lui avaient lié les mains dans le dos avant de lui bander les yeux et de le forcer à les suivre. Le jeune capitaine n’avait même pas tenté de se rebeller. Il avait remarqué la veille au soir que même si son corps était guérit, il n’arrivait absolument pas à utiliser son énergie spirituel et cela malgré tous ses efforts. Il se laissa donc guider résolument en serrant les dents. Soudain, une odeur familière attira son attention. Cette simple odeur provoqua dans chacun de ses muscles une décharge électrique et ses muscles se tendirent soudain dans une tentative vaine pour s’arrêter sur place. C’était la même salle que la veille. Exactement la même. Soudain, un de ses gardes le poussa en avant et il tomba à genoux sur le sol. Il sentait la peur s’insinuer en lui avec violence et le jeune garçon sentit sa mâchoire trembler en même temps que tout son corps. Soudain, une main l’attrapa par la nuque, s’accrochant à ses cheveux, et le souleva à moitié du sol. Des lèvres se posèrent sur le côté de son cou avec douceur faisant frissonner Toshiro qui commençait à panique.

« Et bien, et bien, il semble effectivement assez docile. Je te remercie Ichimaru, il semble que tu te sois bien occupé de lui. »

« Ce fut un plaisir. »

Hitsugaya reconnu la voix d’Aizen ainsi que celle de son bourreau précédent. Il était toujours à genoux, tremblant devant ce qui risquait de lui arriver. Il entendit un froissement d’étoffe et un souffle juste devant son visage. Avant d’avoir eut le temps de réagir, il sentit une bouche se coller contre la sienne et une langue s’immiscer doucement entre ses lèvres les forçant sa la moindre douceur. Trop surpris pour réagir de suite, le jeune capitaine sentit avec dégout la langue se balader sur la sienne, se glisser au fond de sa gorge comme cherchant à l’étouffer. Quand il reprit assez ses esprits, sa première réaction fut de serrer les dents et ainsi de mordre celui qui était en train de le priver de tout son oxygène.

Il y eut un grognement de douleur et le captif se prit une gifle dans le visage suffisamment forte pour qu’il tombe sur le côté incapable de réaction. Ses poignets lui faisaient mal dans leurs liens trop serrés. Soudain, le bandeau sur ses yeux fut arraché et il vit clairement Aizen, penché vers lui avec un air entre l’excitation et l’agacement. L’homme fit signe à Ichimaru qui se pencha près de son patron et qui, suivant l’ordre qu’il avait donné d’un simple signe de la main, détacha les liens du captif. Aizen attrapa alors Hitsugaya par les cheveux un sourire épanouit sur son visage.

« Je croix que tu ne comprends pas les règles du jeu. Tu es mon jouet, tu dois te laisser faire sinon tu es puni. »

« Espèce de salaud ! »

Soudain, sans prévenir, l’ex-capitaine attrapa un des bras libre du jeune garçon et attrapa un anneau de fer qui ressemblait de loin à une menotte et qui était apparemment emplit de quelque chose de noir. L’anneau était attaché par une petite chaine au mur le plus proche. Aizen en moins d’une seconde passa le bras de Toshiro au milieu de la chose noir dans l’anneau et à la surprise du garçon, son bras passa sans problème et il ne sentit que quelque chose racler sa peau alors que la chose noire bougeait.

« Que… »

Il voulut retirer sa main et ce fut là qu’il sentit une vive douleur traverser son poignet alors que celui-ci se mettait à briller de sang. Ce qu’il avait prit pour une matière noir était en réalité des lames de rasoir qui ne posaient pas de problème dans un sens vu qu’elles s’ouvraient comme les pétales d’une fleures mais qui quand on voulait retirer son bras, se refermaient sous le coup du frottement sur le bras en question s’enfonçant profondément dans la chaire sans difficulté. Ichimaru avait attrapé l’autre bras du jeune capitaine et l’avait tordu dans son dos de tel sorte qu’Hitsugaya était couché à plat ventre sur le sol, un bras tordu l’autre coincé qu’il ne devait absolument pas bouger. Aizen se pencha vers lui doucement et l’attrapa par les cheveux avant de le forcer à tourner son visage vers lui.

« J’attend des excuses. »

Le jeune garçon déglutit en regardant le visage toujours souriant de son nouveau bourreau. Il se souvenait de ce qui s’était passé la veille et vu sa situation actuelle, il n’avait vraiment pas envie de recommencer. Il ferma les yeux violemment comme pour effacer la réalité.

« Je…je m’excuse. »

« Bien. On peut passer à autre chose alors. »

Dit-il en souriant. Il attrapa un petit poignard qu’il portait à sa ceinture et doucement, passa la pointe sur le bras tendu de force du jeune garçon. Ce dernier sentit sa respiration s’accélérer alors qu’il devait se faire violence pour ne pas retirer son bras et donc se faire trancher jusqu’à l’os. Aizen dessina deux traces assez profondes et parallèles avant de tirer une dernière coupure qui reliait une extrémité de chaque. Ichimaru resserra un peu sa prise sur le bras de Toshiro et celui-ci se rendit alors compte que ce n’était pas intentionnel mais dut à l’excitation de ce qui allait se passer. Le jeune garçon sentait une véritable panique le prendre. Aizen plaça alors son couteau dans la dernière fissure et la lame passa sous la peau d’Hitsugaya qui poussa un hurlement de douleur. Riant à moitié, Aizen commença à arracher sa peau comme on pèlerait un fruit l’écorchant vif. Le captif voulut retirer son bras et les lames plongèrent dans sa peau rentrant dans l’os et le touchant alors que les hurlements du capitaine augmentaient.

« NOOOOOOON ! AIZEN ! ARREEEEEEEEEETE STOOOOOOOOOOOOOOOOOP ! PITEEEEEEEEE ! »

Aizen continua à s’acharner sur lui pourtant sans rien d’autre qu’un sourire de plus en plus grand. Quand il eut finit avec le morceau de peau, il soupira presque en le laissant tomber sur le sol. Il attrapa alors le bras du garçon en prenant garde d’appuyer à l’endroit où son muscle était à vif et détacha la menotte avant de le lâcher laissant tomber le membre du garçon dans une flaque de son propre sang.

Ichimaru lâcha le capitaine et recula d’un pas alors qu’Aizen se penchait pour regarder l’enfant étendu sur le sol. Il passa une main dans son dos et Toshiro se crispa tentant de s’y dérober tellement faiblement que son persécuteur n’y fit pas attention. Celui-ci l’attrapa de nouveau par les cheveux avant de l’attirer à lui et de l’embrasser de nouveau mais plus violemment cette foi, sa main calé dans la nuque d’Hitsugaya, il lui coupait tout apporte d’air alors que sa victime n’osait même pas protester des larmes coulant sur ses joues, les inondant. Quand il le relâcha, l’enfant toussa pour tenter de reprendre son souffle. Aizen en profita pour reprendre son couteau et le faire glisser sur ce qu’il restait de vêtement à son jouet. Il les réduisit en charpie le laissant entièrement nu.

L’homme passa alors ses mains sur le torse du garçon dessinant lentement les courbes de ses muscles tendus de douleur. Il se pencha pour mordre le côté du cou de sa victime laissant la peau à vif. Pris d’envie d’entendre son jouet crier, il attrapa de nouveau son bras serrant le muscle sans protection faisant crier Toshiro qui voulut le retirer dans un faible mouvement. Ce dernier venait de comprendre ce qui allait se passer et poussa un gémissement de crainte qui ressemblait plus à un cri de chien que d’humain.

« Ai…Aizen…non…je t’en prie pas ça…tout mais pas ça… »

Les larmes redoublaient sur ses joues alors qu’il tremblait de plus en plus au fur et à mesure que les mains de l’ex-capitaine descendaient sur son torse pour venir caresser ses cuisses et remonter sur ses fesses et ses hanches. Hitsugaya entendait sa propre voix brisée, implorante, terrifié. Il sentit soudain une autre main passer sous son menton lui caressant la gorge et il reconnu la peau froide d’Ichimaru.

« …non… »

Implora-t-il dans un souffle. Ichimaru attrapa ses deux poignets qu’il plaqua au sol pour l’immobiliser pendant qu’Aizen se débarrassait simplement de ses vêtements. Toshiro écarquilla les yeux et d’un seul coup perdit tout le peu de contrôle qu’il avait sur lui-même paniquant totalement en se débattant comme un diable en commençant à hurler.

« AU SECOURD ! AIDEZ-MOI ! A L’AIIIIIIIIIIIIIIDE ! QUELQU’UN PAR PITIEEEEEEEEEEE ! »
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MessageSujet: Re: Bleach fanfiction (+18 ans)   Bleach fanfiction (+18 ans) EmptyDim 15 Juin - 23:33

Ses appelle furent tranché par son propre cri de douleur quand soudain Aizen entra en lui. Une main se plaqua sur sa bouche le faisant taire mais il ignorait de laquelle il s’agissait car il avait fermé les yeux. La douleur dépassait tout ce qu’il avait jamais ressentit avant. Il avait si mal qu’il était incapable de bouger un muscle et le moindre mouvement d’Aizen lui donnait envie de s’évanouir. Pourtant, l’homme y allait lentement prenant une attention particulière à ne pas le laisser partir dans l’inconscience. Accélérant soudain dans son mouvement de va et viens, le bourreau donna une gifle à sa victime qui allait s’évanouir, la réveillant. Pour le garçon, c’était le pire des cauchemars, il était incapable de penser à quoi que se soit d’autre que ce qui lui arrivait. La souffrance, l’humiliation et le dégout.

Soudain, Aizen l’attrapa par les hanches se collant à lui pour rentrer entièrement en lui avec violence d’un seul coup. L’homme commença à jouer en mordillant l’oreille du garçon avec sadisme alors qu’Ichimaru tenaient encore ses mains et que la main d’Aizen le réduisait au silence.

« Alors ça te plaît ? Si tu savais comme pour moi c’est génial. Je croix que je ne m’en lasserais jamais. »

Dit-il en augmentant sa vitesse faisant couler le sang sur les cuisses de son jouet obliger de supporter chacun de ses mouvements sans la moindre possibilité de s’échapper. Son bourreau se libéra en lui et se retira en souriant lâchant l’enfant qui tomba au sol en tremblant, se recroquevillant et sanglotant. Ichimaru lâcha ses poignets et recula d’un pas avant d’interroger son maître du regard. Aizen l’ignora se penchant de nouveau sur sa victime se couchant presque sur l’enfant étendu sur le sol et le prenant par les cheveux pour frotter sa joue contre celle inondée de larmes d’Hitsugaya.

« Dit moi gamin, je ne savais pas que tu étais si bon que ça. Je pense que se serais dommage d’en rester là. »

Toshiro gémit en fermant les yeux un peu plus forts qu’avant sentant la bouche d’Aizen venir mordiller sa nuque et sa main libre caresser ses fesses.

« Mais…je peux peut être aussi te laisser. Veux tu que je te laisse retourner vers ta soigneuse ? »

Le capitaine ré-ouvrit les yeux jetant un regard perdu et plein d’espoir à son bourreau qui souriait.

« Mais il y a un prix. Choisit, si je te laisse repartir, c’est ta soigneuse qui va subir la même chose que toi. C’est toi qui choisis. »

Non, il ne pouvait pas. Il ne pouvait pas faire ça. La condamner à sa place. L’enfant hoqueta de douleur quand Aizen passa un doigt dans son intimité déjà violé et sanglante. Il ne pouvait pas la sacrifier mais revivre ça, c’était trop.

« Alors tu choisis ? Elle ou toi ?»

Un monstre, c’était un monstre. Il serra les poings en reposant son front sur le sol chaud de son sang alors qu’Aizen de son autre main caressait son torse son doigt toujours dans son intimité faisant gémir le garçon de douleur. Soudain, l’ex-capitaine rit.

« Ahahah, tu y a crut non ? Tu pensais vraiment que j’allais te laisser ? Désolé mais la fille je m’en fiche. Pourtant… »

Les doigts d’Aizen plongèrent plus profondément en lui.

« …c’est elle que tu aurais choisit n’es ce pas ? »

Hitsugaya cria de douleur quand soudain l’homme rentra de nouveau en lui avec une violence démultipliée. Oui, il le savait et il se dégoutait, il aurait choisit de fuir et aurait livré la fille à sa place. Aizen attrapa ses poignets qu’il tendit dans son dos tout en s’en servant comme appuis pour entrer en lui plus fortement le faisant hurler de douleur librement. La sueur de son bourreau se mélangeait au sang et au sperme pendant que le capitaine subissait de nouveau chaque mouvement bien plus fort que la première foi. Cette foi-ci, son bourreau s’arrêta au milieu, se retira de lui avant de le forcer à pivoter et d’enfoncer son sexe dans sa bouche le glissant au fond de sa gorge dans un mouvement de va et viens extrêmement rapide. Toshiro tenta de tousser pour ne pas étouffer mais le mouvement était bien trop violent pour lui et il n’avait plus guerre de force pour autre chose que se laisser faire, pleurer et étouffer lentement. Aizen s’enfonça alors tout au fond de sa gorge pour se libérer le forçant à avaler.

L’ex-capitaine se retira alors complètement de sa victime avant de se redresser et de lui décocher un coup de pied dans le ventre.

« Ca suffira aujourd’hui. Je reviendrais demain. Ichimaru, je te le laisse pour la fin de la journée. »

Hitsugaya ouvrit grand les yeux regardant Aizen sortir de la salle. Le souffle court, le corps traversé de spasmes de douleur, il sentit tout espoir l’abandonner. Il sentit la main d’Ichimaru se poser sur son épaule et fut incapable d’émettre un cri à ce contact, totalement figé. Un de ses bras tendus, celui qui n’était pas écorché, voulut attraper un des objets qui trainait dans la salle, n’importe quoi pour se défendre de ce qui allait recommencer, encore et encore l’entrainant encore plus loin dans l’horreur. La main d’Ichimaru saisit son poignet lui tordant le bras dans son dos.

Sans attendre, l’homme rentra en lui avec tout autant de violence que son prédécesseur le faisant hurler à s’en casser la voix lui aussi. Pour Ichimaru c’était un peu différent, contrairement à Aizen il ne prenait pas du tout garde à ce qu’il ressentait alors que le premier ne prenait plaisir qu’à sa souffrance. Lui, le considérait vraiment comme un simple objet. Pourtant, cette différence n’était absolument pas ce qui allégeait la souffrance du garçon étendu sur le ventre subissant l’humiliation encore une fois et perdant peu à peu conscience de ce qui se passait son sang coulant à flot de son poignet blessé jusqu’à l’os. Toshiro sentit à peine quand son violeur éjacula en lui tellement le reste de la douleur couvrait ses sens.

Après ça, il resta étendu sur le sol incapable de bouger et sanglotant sur son propre sort. Qu’es ce qu’il pouvait faire d’autre de toute manière ? Il n’était qu’un simple jouet entre les mains de ses tortionnaires qui ne s’amusaient qu’à ses dépends.

Il entendit des bruits de pas et leva doucement les yeux craignant ce qu’il allait voir. Ce qu’il aperçut le rassura légèrement. Amara était amenée par Ichimaru et Aizen restait un peu en retrait. La fille en voyant son capitaine courut jusqu’à lui et se laissa tomber à genoux à côté de lui. Il l’entendit murmurer quelques mots avec la même sonorité que son chant et se doutait qu’il s’agissait d’exclamations. Elle passa une main sur son front les yeux grands ouverts apparemment profondément choquée par ce qu’elle voyait. Elle regarda alors Aizen et Ichimaru et se mordit la lèvre inférieur comme hésitante.

« Vous allez rester ? »

Demanda-t-elle directement aux deux hommes. Aizen eut un petit rire comme seul réponse. Hitsugaya comprit qu’elle ne voulait rien faire devant eux mais la douleur qui le traversait était si forte qu’il voulait absolument son aide. De sa main valide, il attrapa la sienne en plongeant son regard dans le sien, ses yeux l’implorant.

« J’en t’en prie. Je t’en prie…aide moi….Je n’en peux plus. »

Sa voix n’était qu’un sifflement mais il n’avait plus la force de quoi que se soit d’autre. Il l’implorait de l’aider. La fille passa une main sur son front doucement avant de serrer la main qui l’avait attrapée.

« C’est bon…c’est bon maintenant…c’est finit. »

Dit-elle simplement en utilisant son pouvoir étrange. Le garçon sentit sous son ventre éclore les fleures luisante et immaculées qui étaient apparues par magie. Immédiatement la douleur s’apaisa un peu laissant derrière elle son empreinte de honte et d’humiliation. Les simples souvenirs étaient des plus cruels mais pour le moment, Toshiro s’en fichait, il voulait juste avoir moins mal. Il entendit la fille commencer à chanter une chanson différente. Il n’en saisissait toujours par les paroles mais c’était quelque chose de rassurant. Au fond de sa mémoire, le souvenir d’une femme chantant pour lui revint. Il se souvenait juste de son parfum et de sa voix, certainement sa mère avant qu’il ne meurt. Il ne s’en souvenait presque pas, après tout, sa vie humaine avait été si courte, quelques années au plus il ne le savait même pas. Il voulut bouger mais son corps était encore douloureux, il tendit pourtant un bras vers la personne qui chantait, il ne se rendait plus compte d’où il était. Il ne voulait pas savoir de toute manière, il ne voulait pas savoir si c’était vrai ou pas. Il voulait juste se cacher, oublier sa souffrance et ce qui lui arrivait. Juste se réfugier quelque part. Il n’aurait pas sut dire si les bras qui passèrent autour de son corps pour le serrer contre un corps de femme étaient vrai ou pas. En tout cas, c’était tendre et doux, plein d’amour et sans la haine dont il était souillé à jamais. Il oublia tout se laissant aller totalement perdant totalement toute conscience sombrant dans une sorte de demi-coma réfugié contre la poitrine de l’être aux bras protecteurs.


------------------------

Je viens de me rendre compte que c'est la première foi que je fais un Yaoï détaillé en fait. Hummmmmmm...mouais un peu léger et manque de travaille mais bon...pas trop envie d'aller plus loin pour le moment.

Alors, je viens de poster 4 chapitre à la suite pour de bonnes raisons...primo j'ai écrit que jusque là, deuxio j'ai besoin de me motiver pour la suite alors reviews pleaaaaaaaaaaaaaaaase et tertio seuls les motivés vont la lire alors ceux qui ne le sont pas n'auront pas à supporter ma folie^^

Pour les commentaires, si vous en mettez postez les dans un autre topic ou à la suite de celui-là ça m'est égale les deux me vont très bien^^
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MessageSujet: Re: Bleach fanfiction (+18 ans)   Bleach fanfiction (+18 ans) EmptyMar 17 Juin - 22:16

Chapitre 5:

Il aurait aimé ne jamais sortir de cet état second dans lequel il avait été plongé. Il aurait voulut rester à jamais entre les bras d’hétère de la créature féminine qui le rassurait comme sa mère. Il ne voulait pas quitter le doux nid d’amour qui le rassurait et embuait sa mémoire et ses sensations. Mais hélas, il fut arraché à cette douceur brusquement. Quand il ré-ouvrit les yeux, il était encore dans la même salle que d’habitude, la douleur était encore là comme un bruit sourd, un grondement de tempête qui battait au rythme de son cœur. Mais sa subordonnée venait d’être attrapée par le bras par Ichimaru et était éloignée de force de lui.

« Qui aurait pensé que ce serait si simple. Rien que ton nom aurait du nous guider. »

« Lâchez-moi ! »

La voix d’Amara était légèrement tremblante. Pas la peur de recevoir un coup mais la peur d’un enfant qui aurait sa bêtise dévoilée à ses parents. Ichimaru attrapa son zanpakto et soudain sans laisser à la fille le temps de réagir, le lui enfonça dans l’épaule. Amara poussa une exclamation douloureuse en plaquant la main sur sa blessure avec une rapidité et une énergie peu commune comme si l’idée de voir couler son sang était la pire chose qui puisse arriver.

Les perles rouges coulaient de la blessure rapidement et se multiplièrent quand l’ex-capitaine retira son arme. Hitsugaya sentit alors un étrange sentiment le prendre. Il se sentait très mal, malade. L’odeur de ce sang était étrange, elle surpassait tout ce qu’il y avait dans la salle. Il avait envie de crier et d’ailleurs poussa soudain un cri étrange. Il ne reconnu pas sa voix, c’était trop aigu, presque un hurlement de rapace manquant d’air. Amara serra les dents tombant à genoux en plaquant ses deux bras, libres maintenant, sur ses oreilles comme si ce cri l’empêchait d’agir. Le jeune capitaine se reprit soudain, parcourut d’un autre frisson. Il se mordit la lèvre inférieure retenant l’étrange son qui voulait encore sortir de lui. La fille semblait reprendre ses esprits maintenant et Aizen était aux anges.

« Hitsugaya, la fleure de lune. Et juste un peu de sang de loup suffit à te réveiller enfin. »

Ichimaru lâcha alors la fille qui retomba sur le sol. Mais elle n’avait plus du tout l’apparence d’une fille. C’était un loup qui se tenait sur le sol, l’épaule avec une tâche rouge ouverte comme une rose. L’animal avait une fourrure étant un mélange de blanc, de beige avec un peu de gris. Un animal magnifique mais qui n’avait absolument rien à voir avec ce qu’il était avant. Le loup fit un saut en avant pour se placer entre son capitaine et leurs geôliers en grognant sur eux et montrant les dents, ses oreilles droites et la queue relevée. Toshiro regarda la scène sans comprendre. Un loup, cette fille était un loup ? Et lui une fleure ? Ca n’avait pas le moindre sens. Il se sentait de plus en plus perdu. Aizen continua de parler souriant de plus en plus ses yeux brillant de joie maintenant.

« Impressionnant, un vrai loup qui a sut masquer sa race par une apparence humaine. Il ne doit plus rester qu’une dizaine d’être de cette race. Quand aux fleures… »

Aizen s’avança doucement. Le loup grogna avant de bondir sur lui si vite qu’il ne laissa sur la trace de son bond qu’un simple sillon blanc. Mais l’animal n’était certainement pas de tailler face à son adversaire qui le projeta contre un mur d’un coup de sabre encore plus vif que l’attaque. Hitsugaya ne pouvait plus bouger, à genoux sur le sol. Il tremblait comme une feuille morte totalement écrasé par la présence d’Aizen. Il lui faisait peur, sa simple vue le terrifiait maintenant. Il vit l’ancien capitaine s’abaisser pour être à sa hauteur et il frissonna quand il passa une main sur sa joue pour le forcer à relever son visage. Des larmes de craintes jaillirent d’elles-mêmes en même temps que les souvenir de ce qui lui était arrivé, un faible gémissement jaillit du fond de sa gorge alors que les yeux écarquillé, il ne pouvait détacher son regard du visage remplis d’allégresse de son tortionnaire. A ce moment précis, tous les loups et toutes les fleures du monde n’avaient pas la moindre importance, il voulait juste, partir, s’éloigner le plus possible de cet homme qui tenait son visage entre ses mains avec autant de douceur que de sadisme.

« …Hitsugaya, dans le langage des loups c’est le mot utiliser pour parler des fleures de lune. J’en suis certain, c’est toi la bonne, la clef du paradis. C’est toi, qui va me l’ouvrir. »

« Laisse-le !!! »

Le loup…la louve plutôt, s’était redressée doucement. Sur son flanc était une large entaille faite par le zanpakto d’Aizen mais elle ne semblait pas décidée à finir le combat maintenant. Grognant comme avant, elle s’apprêtait à réattaquer.

« Oh mais, ne t’inquiète pas. Je ne compte pas encore tuer ta précieuse fleure. Elle est trop immature, il lui faut le temps d’éclore. »

Aizen qui avait adressé à la louve un bref regard avait de nouveau son attention sur son captif. Il gardait sa main gaucher sur sa joue pour qu’il ne bouge pas le visage et de la main droite lui caressait les cheveux comme s’il avait s’agit de pétales. Le garçon n’osait pas bouger, il osait à peine respirer et contenait à grande peine les tremblements de son corps. Mourir, il aurait voulut mourir mais les images, les souvenirs, l’humiliation, la peur…la douleur. Tout ça revenait si fort. La louve grogna de nouveau sautant directement sur Aizen mais cette foi étant déviée par le sabre d’Ichimaru qui se planta dans son épaule en s’allongeant et la cloua au sol avant qu’elle ne puisse réagir. L’animal poussa un gémissement de douleur en luttant vainement pour se redresser avec une lame qui l’empalait sur le sol poisseux de la salle.

« Non…je ne vais pas la tuer. Hein gamin, je vais te renvoyer chez toi. A la soul société. Car il faut que tu grandisses là-bas et quand tu seras mur je reviendrais te chercher. Il ne servira à rien de fuir car je garderais un œil sur toi. C’est bien clair ? Si tu tentes de fuir, je devrais te punir comme je l’ai déjà fait. »

La main gauche de l’homme glissa de la joue au cou de l’enfant. Ce dernier acquiesça dans un mouvement craintif. Soudain, il sentit quelque chose lui bruler la gorge et voulut y porter ses mains en poussant un cri. Aizen retira sa main presque aussitôt et Toshiro put poser ses mains sur sa gorge ne sentant rien alors que l’impression de bruler y était encore. Il poussa un autre cri mais cette fois, aucun son ne sortit de sa bouche. La sensation sur son cou disparut totalement mais quand le garçon voulut parler, il se rendit compte qu’il ne pouvait pas émettre un son.

« Je vais t’offrir une petite leçon gamin. Tu ne pourras pas plus parler qu’écrire dorénavant et cela dans n’importe quelle langue, aucun autre moyen de communication que les signes. Tu verras bien vite à quel point un enfant comme toi n’attire pas l’attention dans ton monde. Je vais te montrer combien les gens que tu croyais tes amis ne te connaissent pas et ne t’écoutent pas. La louve va rester avec moi alors personne ne saura rien de ce qui s’est passé. Essaye de leur dire, ne te gêne surtout pas. Mais tu verras bien vite ce que ça va donner. »

Aizen tendit la main et dans sa paume apparut une arme que le garçon reconnu immédiatement comme étant la sienne. Le capitaine eut à peine le temps de comprendre que son tortionnaire attrapa son poignet droit et trancha les veines avec le zanpakto de glace avant de faire pareille avec son autre poignet.

« Et voilà, maintenant tu n’es plus qu’un adolescent perturbé qui a disparut trois jours et qui a tenté de se suicider. »

Siffla en souriant l’ex-capitaine. Toshiro le regarda une seconde avant de regarder ses poignets tranchés. Voilà pourquoi il avait été soigné finalement. Pour que personne ne voit ses blessures. Il ferma les yeux et perdit connaissance à cause du manque de sang et de la peur.


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Cross Over avec wolf's rain à 150% XD. Perso j'aime bien Amara mais j'aime pas son nom. J'arrive pas à en trouver de bien pour elle c'est embêtant. Je croix que je vais surtout la nommer en temps que :"La louve".

Sinon, bah l'histoire commence à avoir un sens dans ma tête c'est une bonne évolution vu que j'ai commencer avec une idée plutôt légère ^^.
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